Émerveillements Khmers :
Un voyage au cœur des incontournables du Cambodge

Capitale culturelle du Cambodge, Siem Reap est bien plus qu’une simple passerelle vers le célèbre Angkor Wat. Cette ville animée offre une approche intéressante des traditions khmères au travers de ses marchés vivants et de sa gastronomie. Angkor Thom, Angkor Wat, Ta Prohm ou Bayon et leurs merveilles archéologiques khmères ne sont plus à présenter mais Siem Reap est également le point de départ pour de nombreuses visites telles les villages lacustres situés sur les rives du Tonle Sap.

Phnom Penh, dynamique et culturellement riche, est située au confluent des rivières Mékong, Bassac et Tonlé Sap. L’histoire et la modernité s’y mêlent harmonieusement au détour des temples bouddhistes, des marchés animés, des bâtiments coloniaux français et des rues bordées d’arbres. L’histoire récente et poignante du régime des Khmers rouges est abordée lors de la visite du Tuol Sleng Genocide Museum (S-21),qui était autrefois une prison. La capitale du Cambodge est le lieu idéal pour goûter aux délices de la gastronomie locale. Vous embarquez à bord d’un tuk tuk à la découverte de la street food faite d’une multitude de saveurs, de couleurs et d’arômes qui reflètent la diversité de l’héritage culinaire du Cambodge.

Fondée en 1908, dans un Cambodge sous le protectorat français, cette petite station voyait les colons français profiter des plaisirs balnéaires. Kep était alors la station balnéaire la plus prestigieuse de tout le Cambodge. Les nombreuses villas, malheureusement détruites ou endommagées par les Khmers Rouges, témoignent du dynamisme architectural du Cambodge entre 1950 et 1970. Chaque jour s’y tient un petit marché où se vend dans une ambiance de kermesse, la spécialité culinaire de Kep : le crabe.

Kampot, ville côtière particulièrement charmante séduit par son atmosphère provinciale, sa tranquillité, l’architecture coloniale de ses vieilles maisons, son vieux marché et son petit port de pêche. La renommée du poivre de Kampot n’est plus à faire. Mais si le poivre est l’or noir de Kampot, le sel est quant à lui l’or blanc. Entre Kampot et la paisible station balnéaire s’étend, sur une bande côtière d’une trentaine de kilomètres, la route du sel et du poivre. Si côté terre on y cultive le poivre, côté mer on y récolte le sel.